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E42/R5 : une étude de mesurage des nuisances sonores commandée

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Soucieuse du bien-être de ses riverains, la Ville de Mons a commandé une étude de mesurage des nuisances sonores dues à l’autoroute E42 et au R5.


Le Collège de la Ville de Mons est particulièrement sensible aux revendications des riverains d’Obourg, de Saint-Denis, de Nimy, de Maisières et de Ciply, à proximité de l’autoroute E42 et du R5. 

En effet, depuis de nombreuses années, ceux-ci espèrent mettre un terme aux nuisances sonores qu’ils subissent quotidiennement.  

Au cours des derniers mois, Nicolas Martin, Bourgmestre de la Ville de Mons et Stéphane Bernard, Echevin des Travaux, sont allés à la rencontre de nombreux citoyens impactés par le bruit de l’autoroute et ce, afin d’avoir une parfaite maîtrise de ce dossier. 

Une réunion avec les différents responsables régionaux wallons, complémentairement aux rencontres de terrain, s'est par ailleurs déroulée à l'initiative de l'Echevin des Travaux qui travaille sur ces plaintes depuis plusieurs mois. 

« Les échanges avec les riverains nous ont permis de prendre connaissance au mieux de ce dossier. C’est une problématique que nous comprenons et que nous prenons très au sérieux. Aussi, le Collège a décidé de commander une analyse contradictoire à celle du SPW/MI (service Mobilité et Infrastructures de la Région wallonne) afin de vérifier d’une part que les normes sont bel et bien respectées et d’autre part, de doter la Ville d’arguments complémentaires dans ses discussions avec le SPW », ajoute Nicolas Martin, Bourgmestre.   

Un auteur de projet pour cette étude sera prochainement désigné. Le dialogue avec les  riverains de l’autoroute E42 et du R5 sera maintenu tout au long de cette étude tant attendue.  

« Cette situation doit trouver une issue favorable et acceptable. Bien que cette compétence ne soit pas communale, ce sont les citoyens montois qui subissent cette situation pour le moins intenable » complète l'Échevin des Travaux Stéphane Bernard

Il est rare qu’une commune ou une Ville suive ce type de démarches mais le bien-être de la population du Grand Mons par rapport à cet enjeu de la pollution sonore en valait la peine aux yeux du collège montois.

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